• Chapitre 3 - Tout ça pour une histoire de queue !

    Chapitre 3 - Tout ça pour une histoire de queue !

    Harry et Draco en duo pour une leçon de potion donne toujours lieu à d'étranges résultats ... Draco se retrouve transformé en une espèce de félin assoiffé de sexe et d'Harry ! La vertu de notre brun n'a qu'à bien se tenir ! 

    [Rated M-MA - Drarry]

    Heeeeeeey tout le monde ! Comment ça va ? :'D Je reviens aujourd'hui avec la suite de cette fanfiction ! Un mois plus tard, comme la dernière fois x) J'ai pas géré cette fois-ci, je voulais respecter les délais alors l'essentiel du chapitre à été écrit hier et aujourd'hui ! Six pages quand même x') J'ai mal aux doigts T^T

    Bref, vous vous en foutes de ce que je raconte, voilà la suiiiiiiite ! :'D

    Et voilà ! Vous êtes content ? Un semblant de lemon aujourd'hui ! Et Draco ne finit pas stupefixié xD Le chapitre suivant est un peu commencé, j'ai pas encore d'idée précise de ce que je vais faire ^-^ 

    Bwef, le chapitre sera dispo ce soir sur FFnet ! Mais si vous êtes là avant tout le monde, n'hésitez pas à laisser un petit commentaire ! ;) 

                                                                                                                                                                                               

     

    Chapitre 3 – Subir le courroux.

     

    Une nouvelle fois, le corps inanimé de Draco fut emmené à l'infirmerie, où selon les dires des professeurs, la sécurité y serait renforcée pour qu'un tel accident ne se reproduise plus. En ce moment le Serpentard était abonné au sort de stupéfixtion. Harry se demandait surtout ce qu'il se passerait pour les professeurs incriminés quand le père de Draco « En entendra parler ! » mais c'est encore une autre histoire.

     

    Les nouvelles allèrent très vite, aussi. Le chemin de la rumeur se fit entre les fauteuils de la salle commune, se propagea dans les couloirs et avait gagné la totalité de la Grande Salle quand Harry entra pour manger un peu, forcé par ses amis qui l'épaulaient. Il songeait amèrement que demain, à la place de titre prévu de la Gazette du Sorcier figurerait quelque chose de genre « Harry Potter échappe de nouveau in-extremis à une attaque du fils du Mangemort Lucius Malfoy, Draco, au sein même de l'école Poudlard ! Mais que fait les directeur ?! »

     

    Il savait qu'il devait se sentir aussi dégoûté que révolté. Mais il n'y arrivait pas, c'était comme ça. Il avait l'étrange envie de vouloir aller rejoindre le blond et l'aider à se sentir mieux. Il se sentait coupable de son état aussi. C'était bien en partie sa cause si l'incident de potion avait eu lieu. Et ce n'était pas Rogue, qui depuis la table de professeurs le fixait d'un regard noir en mangeant sa tarte aux pommes, qui allait le contredire. C'est lorsqu'il avait ce genre de pensées envers le blond que la morsure dans son cou, recouverte d'un petit pansement après avoir été préalablement désinfectée à coup de rasades d'alcool à 90°C par ses amis (pour « enlever la souillure » qu'ils disaient …) commençait à la picoter étrangement.

     

    Harry secoua la tête pour évacuer ses pensées dénuées de sens. Il regarda plutôt Ginny, qui, depuis qu'elle l'avait retrouvé à se débattre sous les jumeaux qui arrosaient son cou d'alcool, ne s'éloignait pas de lui. Quand Ron lui avait raconté que « Malfoy est venu et à tenter de violer Harry alors qu'il se reposait dans sa chambre ! Mort à la fouine ! », Ginny a alors décidé que rester accrochée à lui comme une moule à son rocher semblait être la meilleure solution pour le protéger d'un homme de septième année maîtrisant la magie noire qui l'enverrait valser d'un regard. Elle ventait les mérites de son merveilleux sort de « Chauve furie » et disait à qui l'écoutait que Malfoy ne pouvait rien contre ce sortilège, tant il aurait peur de se faire décoiffé par les êtres ailés. Harry ne répondit rien, mais il pensait qu'étant donné l'état dans lequel se trouvait Draco, il y avait plus de chance qu'il se nourrisse de ces fameux « êtres ailés », ou encore qu'il s'amuse à les chasser. Mais bon.

     

    Autour de lui, les Gryffondors étaient pour les uns blagueurs, hurlant à tort et à travers que Malfoy voulait le transformer en esclave par un rituel satanique, qu'il était devenu dépressif à cause de toutes les fois où il avait perdu contre Harry et donc tentait une nouvelle technique pour le déstabiliser. D'autres plus coléreux, comme Ron, ne juraient plus que par la vengeance pour l'honneur de leur ami bafoué à grands renforts de larges gestes, de belles paroles sur l'amitié, et d'une petite musique de fond épique chantée en beat box par Seamus et Dean. Bref, la table des Gryffondor était déchaînée, il suffisait d'y ajouter plusieurs pintes de bières et on était de retour dans une cosy et chaleureusement ambiance de pub un vendredi soir. Il n'y avait qu'Hermione qui l'avait regardé d'un air entendu avant de se plonger dans un livre en picorant de la pomme de terre.

     

    Harry jeta un œil du côté des Serpentards. Ceux-ci semblaient encore plus chiant que d'habitude. Ils fixaient leur assiette ou parlaient à voix basse entre eux, sûrement à essayer de trouver des excuses au comportement de leur Prince, d'incriminé Harry d'une quelconque manière, bref, de sauver leur honneur aussi.

     

    « Harry ! Harry ! »

     

    Ce fut Ginny qui le sortit de sa sorte de transe. Elle le fixait de ses grands yeux bleus et de son joli minois constellé de taches de rousseur. Harry se surprit à penser qu'il aurait aimé qu'un visage un peu plus pâle s'adresse à lui.

     

    « Oui ? Répondit-il.

    -Je te demandais si tu voulais m'accompagner à la Bibliothèque, il y a quelque chose en Défense Contre les Forces du Mal que je n'ai pas compris... fit-elle en papillonnant légèrement des yeux.

    -Oh euh, oui, bien sûr, je t'aiderais.

    -Oui ! S'incrusta alors Ron, patate bouillie envahissant sa bouche. J'ai besoin de faire mon devoir de Métamorphose !

    -Ron, intervint Hermione, reposant son livre de Runes sur la table, tu ne veux pas que nous le fassions ensemble, dans la salle commune, rien que nous deux ?

    -Oh ou-oui ! Bien sûr ! Pas de problème ! Bafouilla-t-il en hochant furieusement la tête.

     

    Aucun des deux garçons ne remarquèrent le clin d’œil entendu que s'échangèrent les deux jeunes femmes.

     

                                                                                                                                                                                               

     

    Il était 20 heures, et il leur restait encore une heure avant que la Bibliothèque ne ferme ses portes, annonçant qu'il leur fallait rentrer dans leur maison avant le couvre-feu.

    Harry expliqua longuement à Ginny pourquoi les Vampires devenaient de plus en plus résistant au soleil et comment les détecter. La leçon n'était pas compliquée à comprendre en soi, et Harry eut du mal à cerner le problème de compréhension de la rousse.

    Pour couronner le tout, il se sentait las et fatigué, n'avait envie de rien et était plongé dans un état semi-comateux qui s'amplifiait à mesure que Ginny blablatait. Elle était plutôt intéressante pourtant d'habitude. Seule l'odeur florale qui lui tournait autour parvenait à le rendre alerte tant elle l'insupportait.

     

    Mme Pince annonça que la Bibliothèque fermait et les deux élèves assidus durent sortir. Le trajet fut très long pour Harry qui remarqua à peine comment Ginny s'accrochait à son bras, le collant entre ses petits seins qu'il aurait pu trouver agréables. Dans un état de plus en plus comateux, il n'entendait plus que le flot ininterrompu de ses paroles, ne sentait plus que les roses qui l'entouraient. Non, lui, il sentait une odeur plus discrète, plus sensuelle, qui l'attirait inexorablement vers la droite, comme envoûté.

     

    « Ginny, la coupa-t-il soudainement, je dois aller aux toilettes.

    -Oh, fit-elle surprise d'être interrompue, tu n'auras qu'à y aller dans la salle commune, non ?

    -Non, j'ai besoin d'y aller maintenant.

    -D'accord, souffla-t-elle, je t'attends.

    -Non, pars sans moi. J'en ai pour un moment.

    -Oh ! S'exclama-t-elle, je vois, d'accord … Je te laisse, alors ! »

     

    Et elle partit, non sans laisser traîner un dernier regard perplexe derrière elle.

     

    Harry attendit que le bruit de ses pas s'évanouissent avant de bifurquer au prochain couloir, ne prenant absolument pas le chemin menant aux toilettes les plus proches, mais bien celui de l'infirmerie.

     

    Il aurait tout aussi bien pu se diriger à l'aveugle dans le couloirs, ans connaître le chemin, car la fragrance était toujours présente et le guidait à travers les dédales de pierres.

     

    Lorsqu'il arriva face aux portes fermées de l'infirmerie, il se sentit comme appelé de l'intérieur. Il colla son oreille sur le bois mais n'entendit rien au début, puis progressivement des ronronnements lui parvinrent, et il avait comme l'impression que la personne qui les émettait était juste derrière les portes et l'attendait. Pourtant, celles-ci demeuraient désespérément closes, malgré toute la bonne volonté que le brun y mettait. Il donna des coups d'épaules, des coups de pieds, voir même des coups de tête avant que, légèrement sonné, il ne se rappelle qu'il était un sorcier.

     

    Les sorts de déverrouillages se révèlent inefficaces et il décida de sortir sa botte secrète. D'un sort particulièrement compliqué, il traversa la porte. La désagréable sensation de picotement fut bien vite oubliée lorsqu'il tomba sur Draco Malfoy, accroupi sur le sol, ne ronronnant manifestement plus, humant l'air avidement. Son regard métallique de sa darda sur lui, ses oreilles de chats se redressèrent vers lui et sa queue se mit à battre furieusement l'air. Vêtu de la blouse blanche réglementaire qui se soulevait par sa queue, il s'approcha lentement de lui, ses pas de faisant pas un bruit sur les pierres froides, sans jamais quitter son regard. Harry ne bougeait pas, totalement fasciné par les mouvements gracieux du félin en face de lui, des intenses iris en fente, de ses crocs se dévoilant à mesure qu'il humait plus fortement l'air. A peine s'en rendit-il compte que Draco s'était relevé face à lui en sentant au fur et à mesure chaque partie de son corps, son froncement de nez s'accentuant de plus en plus. Harry avait l'impression d'être passé au détecteur. Il avait le cœur qui battait la chamade et ne respirait plus.

     

    Soudainement, Draco s'arrêta lorsqu'il passa sur son bras droit. Il renifla plus fort et un grondement sourd émana de sa poitrine qui fit frissonner Harry de la tête aux pieds. De nouveau, Draco fixa Harry dans les yeux et le Gryffondor ne pu que constater à quel point il semblait dangereux dans l'instant présent. Les crocs sortis, un air de fureur sur le visage, les petits poils de ses oreilles dressés, il semblait furieux. Harry savait qu'il aurait dû avoir peur. Mais il n'avait qu'une envie : subir le courroux de Malfoy.

     

    Brusquement, celui-ci plaqua ses lèvres contre les siennes. C'était sans aucune douceur, mais Harry se rendit compte comment, étrangement, ce contact l'avait manqué alors même que toute cette histoire n'avait débuté que le matin même.

    Sans en attendre la permission, la langue râpeuse alla rejoindre la sienne, mordant au passage sa lèvre qui saigna faiblement. Harry allait se laisser emporter quand soudainement tout cessa, Draco saisit son bras pour l'envoyer jusqu'au lit semblable à tous les autres de l'infirmerie et l'y allongea sans précautions. De nouveau, il feula, son regard métallique s'enflammant.

     

    « Tu es à moi ! » siffla-t-il

     

    Harry resta à l'observer, muet, fasciné par le regard envoûtant de colère posé sur lui.

     

    « Tu es à moi ! » Répéta-t-il en soulevant son bras droit qui l'avait tant perturbé.

    Et alors, Harry comprit. L'image du Ginny enserrant son bras entre ses seins s'imposa à son esprit et il savait ce qu'il devait dire pour apaiser le blond.

     

    « Oui, je suis à toi. »

     

    Ses yeux semblèrent se radoucir et l'hybride repartit à la conquête de ses lèvres, cette fois-ci avec plus de tendresse, cajolant les deux pétales avec de douces pressions, se mouvant en rythme, avant d'engouffrer à nouveau sa langue chaude dans sa cavité humide, ravivant la flamme qui les animait le matin-même, ondulante, caressante, elle le parcourut dans son entièreté.

     

    Rapidement, Draco se glissa entre les jambes d'Harry qui s'étaient naturellement ouvertes. Il ronronna de bonheur pour sa place retrouvée. Étalé ainsi sur les draps immaculés, Harry avait l'air d'un ange, ses cheveux bruns tranchant. Ses lèvres reprirent leur parcours, frôlant l'angle de la mâchoire virile, mordillant tranquillement le lobe de l'oreille, descendant par de petits baisers vers la nuque où il s'arrêta brusquement. Sans précaution, il arracha en grognant le bandage qui recouvrait la blessure faite le matin même et ravivée dans l'après-midi. Il lécha la peau jusqu'à ce que toute trace d'alcool soit évacuée et plongea à nouveau ses dents dans la chaire.

     

    Un immense soulagement traversa Harry au moment où les crocs s'enfoncèrent dans sa peau. Cette impression de lassitude, de fatigue extrême venait de disparaître.

    Il aurait voulu que cet instant dure indéfiniment, mais trop tôt, Draco se retira, le laissant avide de sa chaleur. Le Survivant rouvrit ses yeux qu'il n'avait même pas sentit se fermer, et croisa le regard encore plus coléreux que précédemment du blond. Ses yeux parcouraient son corps, semblant lui lancer des éclairs tant la tension était palpable. Sans attendre, il renifla à nouveau son corps, sifflant de plus en plus fort.

    L'odeur qu'il devait porter ne devait pas le satisfaire, pensa Harry, se sentant triste de ce constat.

     

    Sans préavis, Draco se releva sur ses talons et d'un coup de main griffu envoya valser les boutons de sa chemise, dévoilant sa poitrine alors qu'au même instant l'autre main réduisait en lambeau son jean miteux, ne laissant plus que sur lui son caleçon, caleçon qu'il dû également protéger des mains entreprenantes.

     

    « Dr-Draco ! » s'exclama-t-il.

     

    Mais le sorcier semblait dans un autre monde. A peine les vêtements mis hors-service, il se jeta sur la peau nouvellement exposée et lécha chaque partie de son corps, mordillant quelque carré de chair, maltraitant ses tétons au passage, suçant son cou, ses hanches, l'intérieur de ses cuisses, laissant plusieurs marques rouges qui tourneront au violet profond d'ici quelques heures. Ces quelques heures paraissaient bien loin pour Harry. Il ne pouvait penser que dans l'instant présent, les lèvres sur son corps, ces dents qui le rendaient aussi endolori qu'excité. Bientôt, tout son être était enflammé, ne restant conscient que pour agripper les cheveux désormais en bataille de son presque-amant. Il ne savait plus où donner de la tête, entre cette langue impétueuse qui le parcourait, ce souffle qui le rendait toute chose, et ses mains qui voyageaient ci et là sans destination précise, sans jamais cependant atterrir là où Harry en avait le plus besoin. Il en venait à regretter de ne pas s'être laissé mettre à nu lorsque Draco en avait eu l'intention.

     

    Brusquement, le muscle râpeux et les deux grandes mains quittèrent son épiderme, le froid caressant désagréablement sa peau rendue sensible par la salive qui le recouvrait. Il osa croiser le regard du blond qui le regardait, comme un peintre fixait son œuvre terminée en l'évaluant, déterminant s'il était satisfait ou non. Hypnotisé par ce regard, il sentit à peine Draco se déplacer sur la matelas pour venir se placer juste au-dessus de sa tête. Harry ne comprit pas alors, mais lorsque le Serpentard retira sa robe réglementaire pour révéler son corps nu et surtout son excitation bien présente, tout ce fit clair.

    Il voulut protester et éloigner ce corps de lui mais la longue queue touffue blonde saisit ses mains et les enserra, les ramenant au-dessus de sa tête, lui retirant toute chance de se débattre. Draco s'avança un peu plus et l'odeur du mâle parvint au nez d'Harry, terriblement excité malgré lui. Le sexe, long mais fin, zébré de petites nervures, divinement courbé, entouré de son auréole de boucle blonde, s'approcha d'Harry, déposant son gland rougit au bord de ses lèvres, goûtant sans le vouloir la perle nacrée qui s'en échappait. Draco frotta sensuellement son sexe contre la bouche pour l'inciter à le recevoir, et Harry le regarda dans les yeux. Le regard des yeux gris était profond, assombris de désir et toujours de cette flamme de colère. Il lui paraissait tellement imposant ainsi, le dominant de toute sa stature, viril et fort. Il avait envie de se laisser faire.

     

    Tout naturellement, ses lèvres s'entrouvrirent légèrement et il n'en fallut pas plus au blond pour s'engouffrer à l'intérieur, un gémissement rauque s'arrachant de sa gorge.

     

    C'était bon, vraiment bon de sentir ce sexe dur sur sa langue, lui faisant l'amour, se mouvant voluptueusement, sans le forcer, explorant chaque recoin de sa bouche comme sa langue l'avait fait auparavant. Y mettant toute sa bonne volonté, Harry déglutit et tenta de faire encore un peu plus rentrer la colonne de chair.

     

    « C'est ça... Tu es à moi …. murmura-t-il … Et maintenant, suce-moi ! »

     

    D'ordinaire, Harry se serait offusqué par tant de vulgarité alors qu'il le prenait dans sa bouche. Mais là, ça n'avait aucune importance.

     

    Draco fit encore quelques va-et-vient dans sa gorge, alternant entre coups secs et rapides et mouvement lascifs en langoureux, râlant quand Harry l'accompagnait d'une succion, voir ajoutait ses dents de façon subtil qui le fit définitivement grogner de plaisir. Il était tellement beau, se soumettant ainsi, l'acceptant. Il voulait faire partir toutes ces odeurs autres que la sienne, qui le souillaient, le rendaient sale. Il voulait qu'il soit pur, qu'il lui appartienne, qu'il n'y ait que son odeur sur lui pour le protéger. Il ne supporterait aucune autre trace.

     

    Avait-il réalisé la situation ? Avait-il seulement comprit que c'était bel et bien Harry Potter qui se trouvait sous lui ? Personne ne pouvait le dire, mais jamais autrement qu'en instant Draco ne s'était sentit aussi bien, à sa place, sauf ce matin et cette après-midi où il avait été en compagnie du brun.

     

    Sentant qu'il ne pouvait plus se retenir, Draco se retira rapidement de cette bouche trop accueillante et se recula sur le torse d'Harry, empoignant fébrilement son sexe dans sa main, le branlant deux, trois, quatre fois avant que le fuit de son plaisir n'éclate sur la poitrine luisante de sueur du brun qui le regardait, haletant et soufflé par le spectacle dont il avait été l'unique spectateur. Draco ronronna de plaisir face à son chef d’œuvre et huma rapidement l'air. Seule son empreinte demeurait sur le corps d'Harry, le revendiquant ouvertement. Même un sorcier banal à 5 mètres le sentirait sur Harry. Satisfait, il échangea un autre baiser langoureux avec le Gryffondor et s'apprêta à lui rendre la pareille pour le remercier et le féliciter, quand des pas retentirent.

     

    Leur petite bulle d'intimité éclata et Harry reprit pieds à la réalité. Quelqu'un arrivait et si on le découvrait là, en compagnie de Draco Malfoy et passablement excités, c'était la fin.

     

    Sans même laisser le temps à Draco de poursuivre, il sauta du lit, ramassa les restes de ses vêtements et courut se cacher dans in coin de l'infirmerie qui n'était pas éclairé par la lune au même moment où Madame Pomfresh entrait dans la salle.

     

    Elle s'arrêta net en voyant l'état du lit et de son patient, et d'un air surprit, s'exclama :

     

    « Mais qu'avez-vous fait pour vous mettre dans un état pareil ?

    -Euh, j'ai rencontré ma main droite ? »

     

    Mme Pomfresh souffla de désespoir puis saisit une petite aiguille sur la table de chevet qu'elle plante directement dans le bras du blond, qui s'endormit immédiatement.

     

    « Hop, calmant ! Ce que je peux aimer ces moldus ... »

     

     

    Et sans attendre que Mme Pomfresh reparte, Harry réutilisa son sort, travers la porte, et s'élança jusqu'au tableau de la Grosse Dame de sa salle commune, priant pour qu'elle ne tienne pas compte du couvre-feu largement dépassé, le feu au rouge et les fesses à l'air.

    A suivre ...

     

                                                                                                                                                                                         

     

    Et voilà ! Vous êtes content ? Un semblant de lemon aujourd'hui ! Et Draco ne finit pas stupefixié xD Le chapitre suivant est un peu commencé, j'ai pas encore d'idée précise de ce que je vais faire ^-^ 

    Bwef, le chapitre sera dispo ce soir sur FFnet ! Mais si vous êtes là avant tout le monde, n'hésitez pas à laisser un petit commentaire ! ;)

    Gros bisous à tous ! 

    Amicalement votre, Vaurienne ;)


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